Il nous arrive parfois de nous poser d’autres questions autour d’un aliment, d’un ingrédient que la manière de le préparer. Quoique parfois en se nourrissant des origines, nous avons eu de nouvelles idées de recettes.
Sans savoir, si nous lançons aujourd’hui une nouvelle rubrique, nous nous sommes demandés pourquoi proposait-on au détail les joues de lotte?
Vous allez nous répondre que c’est finalement un peu comme tout en passant par … et, pourquoi pas! La question en soi était sûrement un peu idiote mais nous avons glâné quelques informations.
La lotte (ou baudroie) est réputée pour être un poisson pas beau voire laid! Sans se lancer dans une dissertation philosophie sur la perception, de tout un chacun, du « beau », le poisson est plutôt répugnant. Ainsi, il est rare de le retrouver entier sur l’étal des poissonniers…mais toujours étêté!
Motivation anti-gaspi? L’énorme tête pas « jojo » renferme un trésor…de belles joues.
Il semblerait, d’ailleurs, que « les joues de lotte étaient vendues pour le compte des hommes d’équipage, une prime en quelque sorte… »(source manger la mer)
Chez le poissonnier, on les choisira bien fermes et élastiques, légèrement rosées. Oubliez les spécimens un peu « jaunasses » qui ne sont plus très fraîches!!
Pour les préparer, il suffit d’ôter l’éventuelle peau grise (si elle est présente). Les rincer sous l’eau puis les sécher.
Pour la cuisson, rien de plus simple…Nous avons pris l’habitude de les faire cuire tout simplement sous le grill de notre four avec une noix de beurre et quelques aromates.
Voici quelques exemples de recettes…
Avec gourmandise, C&V.
Encore un blog direz vous?….Espérons seulement qu’il nous ressemble un peu!
Ici, on ne parle que des choses que l’on apprécie. Les autres hélas n’ont pas de crédits à nos yeux…
Les goûts et les couleurs…vous connaissez?
On vous confie nos recettes, nos coups de coeur,..
Loin d’être des cordons bleus, nous sommes fiers de la culture culinaire qu’ont initiée nos parents, grands-parents.
Les choses, les meilleures, sont souvent les plus simples et, vice-et-versa.
Alors, bonne découverte.
Avec gourmandise, Caroline & Vincent (C&V).
Personnellement je les fait simplement grillée avec un trait d’huile d’olive de l’ail et du persil c’est un vrai bonheur !! ta recette me plait aussi beaucoup mais qu’il est dur d’en avoir des joues de lotte !! c’est bien dommage !! bravo !
Effectivement, elles sont parfois rares! D’ailleurs dès qu’on les repère sur l’étal de notre poissonnier, on fait la razzia! C’est un produit un peu onéreux, certes, mais rien ne se jette 😉 ! Et, dans notre région, c’est largement moins cher que les noix de Saint-Jacques!!
On a adopté ce type de cuisson tout d’abord pour les noix de Saint-Jacques puis pour la cuisson des joues de lotte, on trouve qu’elles sont ainsi saisies à condition d’ajouter également un peu de matière grasse! Bonne fin de journée!
Et bien, on va se faire inviter 🙂
On devrait trouver une petite assiette pour toi 😉!
Merci! Je suis touchée !!
😉
Pour moi aussi mon coeur chavire en premier sur la fondue de poireaux au chèvre.
Bonne soirée !
Hé hé…Bonne journée 😉
Il me semble que le joue de lotte est un met très fin !
J’ai un coup de cœur pour la recette aux poireaux.
Bonne journée 🙂
Effectivement…souvent on les préfère aux Saint-Jacques plus onéreuses que l’on prépare d’ailleurs de la même manière sous le grill! Bonne journée Carole !
Merci pour l’idée, il faudra que j’essaie.
Bon appétit!
Merci !