Hôtel « Le Bellier » *** (Val d’Isere) « MMM ».

Il faut convenir que l’offre hôtelière sur Val d’Isère n’est pas d’un meilleur marché!

La forte proportion de la clientèle étrangère entraîne chez certains quelques abus…

Nous avons testé ces derniers jours un petit hôtel idéalement placé au centre village: l’hôtel Le Bellier.

« L’Hôtel Bellier, l’un des premiers hôtels de Val d’Isère, est un hôtel familial chargé d’histoire.

Au 19ème  siècle l’Hôtel Bellier existe déjà à la Chapelle-en-Vercors dans la Drôme. Vers 1900, il est tenu par Augustine Bellier, puis repris par son fils Henri et son épouse Renée.

Passionné de ski, Henri Bellier découvre la station de Val d’Isère quelques années plus tard. Charmé par la beauté de ce petit village et de ces montagnes, il décide de faire bâtir un second hôtel aux pieds des pistes à Val d’Isère, qui ouvre en décembre 1950. L’hôtel Bellier est l’un de premiers hôtels de Val d’Isère. »

En 1932, le couple ouvre un refuge sur la Plateau de Beurre (station de ski du Col du Rousset) dans le Vercors drômois. Les skieurs peuvent manger et dormir dans cet établissement. Henri utilise un traîneau et un attelage de chiens pour le ravitaillement.

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On a aimé…

  • L’accueil décontracté: souriant, disponible,…
  • Une mention particulière à notre jolie serveuse vantant un joli plateau de fromages régionaux: persillé de Tignes, bleu de Bonneval, beaufort…à un groupe de japonais avides de découvertes.
  • Une demi-pension simple sans être gastronomique. On apprécie après une journée de ski de mettre simplement les pieds sous la table.
  • Des chambres spacieuses du moins la nôtre l’était avec des rangements ce qui est loin d’être une évidence en montagne.

On aurait aimé…

  • Si l’intérieur a été rénové. L’extérieur n’a pas été retouché depuis bien des années. Sans dire qu’il ne paie pas de mine car on adore ce côté des duettistes des années 60. Croisons les doigts, si rénovation il y a, que les prix ne grimperont pas trop et qu’il ne perdra pas son côté rétro. 
  • Une ambiance au bar plus chaleureuse. Le fait d’être finalement un peu en vase clos ne facilite pas une vie au bar. Il est vrai que suivant les nationalités le culte de l’apéro n’est pas le même. Tant pis…nous prenons un verre à l’extérieur.

Avec gourmandise, C&V.

2 commentaires

  1. Carole dit :

    Bon dimanche !
    On est en pleine tempête, il ne fait pas bon de sortir.
    Bises.

    1. La journée a été studieuse (reprise demain), le monde aurait pu s’écrouler…je ne sais pas si je m’en serais rendu compte 😆…

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