Fondue ou raclette, notre coeur balance avec le retour du froid!

Plus qu’un plat, c’est bien souvent un moment de partage.

Je ne sais plus d’ailleurs quelle marque délivrait ce message  » Ce soir,…il va y avoir du monde à la maison! ». Un moment de convivialité. Cela fait partie également d’une option possible choisie par la maîtresse de maison [ou le maître…ne soyons pas sexistes!] pour ne pas passer le repas en cuisine et, profiter au mieux de la soirée!

Une soirée raclette réussie passe par le respect de quelques règles…

Le choix de l’appareil. Classique [un appareil avec ses petits poêlons], en passant par la rampe chauffante ou encore plus traditionnel [et, à tomber!] au feu de cheminée.

Le choix du fromage. Il y a ceux qui mangent la croûte et, ceux qui ne la mangent pas. J’ai fait partie de la seconde catégorie durant mes premières années de gastronome avant de comprendre que bien souvent, c’est croûte qui apporte le plus de goût. Les meules de raclettes sont parfois frottées au vin ou encore fumées [bois de hêtre par exemple!]. Pour les meilleures, élevées sur des planches en bois [souvent en épicéa] qui leur donnent toute leur personnalité. La texture a aussi son importance. Elle doit rester crémeuse à la cuisson ne pas se transformer en bain de friture! Et, puis sachez que plus d’1/3 des raclette-addicts utilisent un autre fromage que la raclette traditionnelle [morbier, fourme, fromage de chèvre, maroilles,…]. Compter 400 g par personne pour un gourmand!

L’accompagnement. Pommes de terre. Pickles. Charcuteries. Mais aussi salade et légumes variés. À composer selon vos goûts et sa conscience.

Un bon vin. Il ne faut pas abuser d’eau. L’eau et le fromage fondu ne font généralement pas bon ménage au moment de la digestion. Nous choisissons généralement un vin de Savoie. Logique pour un plat qui rime plutôt avec montagne.

Alors? Ce soir, si on se faisait une raclette!!! Le temps s’y prête…

Avec gourmandise, C&V.

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